Aliya Svenson

Nom : Svenson

Prénom : Aliya

Pseudo :

Age + Date de naissance : 16ans, jeudi 31 mai 1990

Sexe : féminin

Clan : mutant neutre au début, (influençable pour le clan).

Pouvoirs : Aliya est d'apparence normal la journée, mais sa peau devient grise la nuit. C'est l'une des particularités de son pouvoir qui touche son physique, et qui lui donne en permanence la faculté de grimpé au mur et de s'accrocher au plafond. Elle est d'une souplesse extraordinaire, et peut voir dans le noir.

Description physique : Aliya est une jeune fille brune, elle a les yeux qui prennent parfois une teinte sombre, et parfois une teinte plus bleu... Elle est blanche, brune, les yeux d'un bleu sombre, mesure environ 1m65, pour 54kg, le jour, mais la nuit, sa peau devient grisâtre, lui permettant de passer inaperçu dans les zones d'ombre.
Elle est extraordinairement souple.

Signe(s) particulier(s) : Aliya a la peau grise la nuit, et ses yeux changent de teinte selon l'éclairage de l'endroit où elle se trouve.

Caractère, tempérament : Aliya a commencé en étant une jeune fille sympathique et tout ce qu'il y a de plus normal, puis à la découverte de son pouvoir et l'abandon de son père, elle c'est refermé sur elle même et a commencé à sortir la nuit. Elle est endurcit par la vie, solitaire, jusqu'à la découverte de sa demi-soeur, dont après la mort de leurs mères elle se croit plus ou moins responsable.
Elle peut être social, mais peut faire peur, elle est étrange, et n'a pas l'âge mentale qu'on lui donnerait, à 16ans, elle peut parfois sembler en avoir 10 dans son attitude, comme elle peut sembler avoir un long vécu derrière elle.

Histoire du personnage :

Aliya est née dans des circonstances tout à fait normal, avec des parents normaux, et passa tranquillement les premières années de sa vie. Vers l'âge de 6ans, elle commença à faire des cauchemars, et une nuit, alors que son père venait la voir, il la retrouva la peau grisatre, comme assombrit... Sans comprendre, il avait cru que la fatigue lui avait joué des tours, que c'était l'obscurité de la pièce qui lui avait fait croire une telle chose. Mais par la suite, l'incident se reproduisit, et tous les matins elle reprenait une couleur de peau normal.
D'abord son père ne comprit pas, et il en parla avec sa femme. Et peu de temps après, lors d'un nouveau cauchemar, ses parents entrèrent tout deux dans la chambre de la petite fille, mais ne la retrouvèrent pas son lit... Aliya avait de nouveau la peau grisatre, et était cette fois dans un angle de sa chambre, mais pas n'importe quel angle... elle se tenait au plafond, la tête calé dans le recoin, sa peau adhérent parfaitement au murs, lui permettant de rester perché ainsi. Elle redescendit finalement, sous le regard affolé de sa mère et celui incompréhensif de son père.
Le lendemain, une dispute éclata entre les deux parents, et Aliya entendit la porte claqué violemment, voyant par la fenêtre son père qui s'en allait. Il revint prendre le reste de ses affaires quelques jours plus tard, évitant soigneusement sa fille. Où est-ce qu'il se rendit ? Aliya ne le sut que bien plus tard.
Sa mère fit de son mieux, recevant tout de même un peu d'argent régulièrement, et Aliya continuait de rêver la nuit de chose et d'autre maléfique, qui lui faisaient plus peur les unes que les autres, mais auquelles elle s'habitua plus ou moins, ne réveillant plus sa mère pour ça.

A 8ans sa mère décida de lui faire quitter l'école, sachant pertinemment que rien ne s'y passait comme elle l'aurait voulu, notamment en sport, ou Aliya semblait avoir des facilitées en gymnastique... Lorsqu'elle lui en parla, la jeune fille lui montra, elle était très agile, et avait les articulations extraordinairement souple, lui permettant des gestes impossible, surtout sans un entraînement difficile de plusieurs années...
Ne sachant plus que faire de sa fille, elle la garda chez elle, Aliya ne sortait plus, apprenant dans des livres, elle savait lire et écrire, mais la suite elle le fit d'elle même, lui faisant un retard scolaire, et n'eut pas de relation avec les autres personnes.
Préférant l'obscurité, elle s'installait souvent dans le noir, à la cave, que ce soit pour lire ou n'importe quoi d'autre, c'était devenu son endroit favoris, au grand désarois de sa mère.

A 10ans, la nuit, elle sortait, et découvrit ainsi la vie de la rue, même si elle n'y faisait que passer, ne parlant pas avec les gens mais voyant bien ce qui s'y passait, étant devenu témoin de nombreux deals, viols, et une fois, un meurtre. Mais elle était très vite rentré chez elle par les toit et n'avait jamais donné suite à cette histoire.
A 12ans, Aliya parla avec sa mère, si on peut appelez ça parler, car la petite fille effrayait tellement sa mère, sans le vouloir, qu'on ne pouvait plus qualifier leurs échanges de discussion. Elle eut le malher de demandé où se trouvait son père... Sa mère ne voulut d'abord pas lui répondre, mais Aliya découvrit tout d'elle même, dans une lettre de son père à sa mère, de quoi il était question, et elle fut bien obligé de lui révéler toute la vérité.

Alors qu'Aliya n'avait que trois ans, son père avait eut une relation avec l'une de ses collègues, et il était partit la retrouver après leur dispute, qui, bien que sa mère ne lui ai pas dit, elle savait que c'était à son sujet. Elle découvrit ainsi qu'elle avait une demi-soeur, quelque part à New-York, qui était maintenant avec son père. Il l'avait abandonné... avait refusé de la voir, il avait choisit son autre fille... elle ne lui pardonnerait jamais, elle s'en fit la promesse. Aliya nourrissait secrètement une rancune contre sa demi-soeur qu'elle ne connaissait pas...
Une nuit vers ses 14ans, la peau grisé, elle sortit par la fenêtre grimpant au mur pour arrivé sur le toit, et se dirigea vers une maison, plus loin dans la ville. Une maison dont elle avait trouvé l'adresse, une maison qui abritait les personnes qu'elle haïssait le plus en cette instant précis...

Clelia... et en plus elle portait le même nom qu'elle, son père n'avait pas été difficile à retrouver.
Aliya s'avança prudemment dans la rue, marchant vers cet immeuble.
*10ème étage...*
Elle posa les mains sur le mur, et commença à grimper, évitant de faire le moindre bruit et de passer devant des fenêtres. Arrivé en haut, elle passa la tête devant la fenêtre de la chambre de la petite fille pour l'observer, elle dormait... Clelia n'avait pas l'air bien méchante, elle n'avait que 11ans, et Aliya se rendit compte qu'elle l'avait haï sans même la connaître, pour le simple fait qu'elle ai le même père qu'elle.
Elle revint le lendemain, et entre ouvrit la fenêtre pour s'y faufiler, se déplaçant au plafond de la chambre, doucement. Elle ne savait plus comment réagir, si elle devait lui en vouloir, ou au contraire, se lié avec elle, mais la petite choisit ce moment pour se réveiller, et hurler tout ce qu'elle savait...
Au grand étonnement d'Aliya, le plafond, ainsi que les murs et tout l'immeuble se mirent à trembler, les vitres et les objets en verre volèrent en éclat, et quand Clelia se calma, son père entra...
Elle le vit levé les yeux vers elle avant qu'elle n'ai le temps de faire un mouvement, et finalement redescendit du plafond, se redressant pour lui faire face, bien qu'elle soit plus petite.
La peau grisé, elle l'observait, sous les yeux de Clelia qui ne devait rien comprendre à la situation.
Il ne trouva qu'une chose à dire : « Sors de chez moi. »
Aliya partit donc par ou elle était venu, plongeant par la fenêtre et disparaissant dans les rues.

Le lendemain, d'apparence normal, elle ne put s'empêcher de penser à ce qui c'était produit la veille dans la chambre de sa demi-soeur, et décida d'y retourner afin d'aller lui parler. Elle hésita à y retourner de jour, pour avoir l'air normal, mais quand aurait-elle put voir Clelia ? Finalement, elle y retourna de nuit, mais la fenêtre était désormais fermé d'un vollet. Entendant le son d'une flûte, elle resta un moment à écouter, puis donna quelques coups léger sur le vollet afin que Clelia lui ouvre, même si elle n'était pas sur de sa réaction... Malgré ses doutes, la jeune fille lui ouvrit, et elle entra doucement, espérant ne pas lui faire peur.
« Salut, tu sais qui je suis ? »
Clelia écrivit sur une feuille : « Oui, tu es Aliya. »
Etonné de la voir écrire pour parler, Aliya pense tout d'abord que la jeune fille est muette.
« Et tu sais qui je suis ? »
« Ma demi soeur. »
« Pourquoi tu parle pas ? »
« Ben t'as bien vu ce qui se passe quand j'ouvre la bouche. »
« Oui... Mais hier t'as hurlé, tu peux même pas parler ? »
« Nan, je ne peux même pas parler. »

Ce fut leur premier échange...Elles discutèrent ainsi de leur situation durant une bonne partie de la nuit, parlant de leur père, de leur vie, de leur 'pouvoir'. Aliya apprit ainsi que son père avait abandonné Clelia, comme il l'avait fait avec elle en apprenant sa mutation, et que sa mère n'était au courant de rien.

Parlant avec Clelia, elle sut que sa mère ne se portait pas très bien, mais elles ne parlèrent pas d'avantage de ce sujet. Mais un jour, alors qu'Aliya rentrait chez elle après s'être un peu promené sur les toits de la ville, elle vit la mère de Clelia dans son apartement... Celle ci ne l'avait pas remarqué parce qu'Aliya était rentré doucement par la fenêtre ouverte, et elle tenait la mère d'Aliya en joug... Une arme à feu vers la tête, semblant décider à en venir à de telles extrémitées...
Aliya n'eut pas le temps de faire un geste, que déjà, la femme tirait... L'image resta gravé dans sa tête, ainsi que le cri qu'elle avait poussé... « Noonn!! » Mais c'était trop tard, elle était morte. Sans savoir ce qu'elle faisait, Aliya se jettait déjà sur la mère de Clelia pour la désarmé, et après une courte bagarre, la femme tombait... la fenêtre ouverte l'avait laissé passé vers sa fin, et Aliya réalisa plus tard ce qu'elle avait fait...

Elle descendit rapidement, et vit la foule amassé autour de la femme qui gisait sur le sol. Serrant le poing, elle lui en voulait toujours, mais elle s'était vangé, elle avait vangé sa mère, il n'y avait désormais plus rien à faire... C'est alors qu'elle vit Clelia, qui se dirigeait vers le corps... Elle la vit tomber en larme, en reconnaissant la femme, et Aliya comprit alors la situation, et s'en voulait... Si il n'y avait pas eu Clelia, elle n'aurait pas eut de remord... Elle se dirigea vers elle et la prit dans ses bras pour la laisser pleurer. « Je suis désolé... »

Aliya l'entraîna, les deux jeunes filles désormais sans mère et abandonné par leur père partir dans un autre coin de New-York, Aliya dénicha un apartement abandonné où elles s'installèrent plus ou moins, faisant attention à ne pas attirer l'attention sur elles, et sur leur consommation en eau dans leur scouate...
Clelia jouait de la flûte pour gagner un peu d'argent, tandis qu'Aliya volait la nuit de quoi vivre.